Cityscape –
Le sentiment de la ville, une distopie
En arpentant les rues d’une cité en constant remaniement et devenue mon territoire existentiel par « aléas d’un destin crypté », je tente d’en saisir l’atmosphère transitoire et fatalement hybride par montage de plans superposés issus d’images prélevées d’un même écosystème ville-région
Une métaphore du temps relatif y est sous-jacente en catimini
Ce qui est, semble en sursis d’une projection à venir.
le décor éphémère – d’un lieu -me fait entrevoir un soupçon considérable de possibilités virtuelles qui renversent l’ordre établi (du réel immédiat) et me ramène toujours aux bords de l’eau (esprit frappeur des rivières) : les limites d’une perception étrange ou l’espace vacille du construit rationnel au déplacement en apparence illogique des éléments qui se condensent, se superposent ou se dilatent – un appel à rejoindre les grands espaces